Quand quelqu’un d’une ethnie, d’un clan ou d’une région du pays se retrouve à la tête de la nation, il privilégie plus les siens. D’autres s’érigent en immortel pour persécuter tout sur leur passage. On cherche à se venger du passé et à créer la perversité au sein du peuple. C’est l’éternel recommencement de la vengeance. La verge qu’avaient utilisée nos aïeux pour mettre en déroute l’envahisseur, l’impérialiste, se substitue en venin au sein du peuple. L’on entend par-ci des propos régionalistes, par-là des esprits séparatistes.
Cependant, si la République te fait grâce de parvenir à un niveau décisionnel, n’abuse pas d’elle. Les hommes passent, mais le pays existe et existera toujours.
Car, nos aïeux ont lutté pour la conquête de la terre et la souveraineté. Mais, nous, nous luttons pour la conquête de nos ventres, nos intérêts personnels au détriment de l’intérêt général. On nomme quelqu’un à un poste de la chaîne de dépenses publiques, il détourne, vole les ressources du peuple.
Quel cœur !
Quand on n’est pas du spectre politique du pouvoir ou de la gouvernance d’un régime, on vilipende où on peint en noir tout un programme de société. Le mensonge devient l’arme la plus utilisée par certains politiciens pour endormir le peuple et l’écarter de son objectif. Quand ce n’est pas moi qui suis là, rien n’est bon. La diffamation, l’intoxication deviennent un mode opératoire pour se faire voir. Et, nous éprouvons la joie de nuire et de déstabiliser un élu, un nommé ou un représentant. La souffrance des uns, constitue la joie des autres.
Quel peuple ! Quelle génération !!
PABUD, la lumière du Bénin, au service de tout un peuple entend résoudre ce préjudice qui traîne les pas du pays, vers un développement durable.
Simplice DOSSOU, président du comité d’organisation du congrès de la Pierre Angulaire pour un Bénin uni et développé